Le CFCM ne donne pas envie qu’on le défende. Transparent, inadapté aux enjeux de la relation de la République avec l’Islam et de l’Islam avec la République, pas ou peu de femmes en son sein, absence de représentativité de la communauté musulmane…
Il organise un dîner de rupture du jeun auquel avait assisté le président l’an dernier.
Cette année seul le ministre de l’Intérieur a répondu à l’invitation. Mise au ban? Signal face à leur incapacité à organiser le culte et répondre aux enjeux? Sans doute, mais on ne peut s’empêcher de penser que cela ne se serait sûrement pas passer comme ça au dîner du CRIF.