Jusqu’ici, une seule association avait le droit de pénétrer dans ces obscures zones de rétention pour justement y mettre un peu de lumière et s’assurer que les droits des « retenus »y sont plus ou moins respectés.La CIMADE menait jusque là un travail exemplaire et courageux conformément à sa tradition
Il semble que malheureusement,on ne puisse être certain qu’elle soit autorisée à continuer de le faire;sa liberté de ton expliquant peut être qu’elle ne soit plus en odeur de grâce.C’est en tout cas ce que peut laisser croire des propos rapportés dans cette article paru dans Libération