Les temps sont durs, c’est la crise. Il faudrait être sourd et aveugle pour ne pas le savoir.
Au premier abord la grève générale qui paralyse la Guadeloupe depuis 12 jours pourrait n’être liée qu’à cela.
Mais derrière ce paravent commode, il y a d’autres questions plus profondes et en suspend depuis des dizaines d’années, l’héritage de l’esclavage non encore apurés, malgré un début de reconnaissance des crimes passés, et aussi la place des citoyens français antillais héritiers des anciens esclaves dans l’échelle sociale.
Derrière la question du pouvoir d’achat,un problème de…diversité?
Souhaitons que les évènements guadeloupéens ne soient pas un prélude à des évènements futurs métropolitains.