Malgré l’opposition du Parquet, 3 chefs d’état africians pourraient devoir répondre de détournement au dépens de leur cassettes nationales respectives, et partant de leur populations vivant dans une précarité incompréhensible au vue de la richesse de ces nations.
Le contre effet pourrait être des rébondissments croustillants, sur le financement de la classe politique française pendant des années, Omar Bongo, président du Gabon, n’a t-il pas parler de faire sauter la République?
Bien mal acquis…