Le voyage du Pape au Proche Orient s’achève.
Voyage difficile dans un contexte de post guerre à Gaza et finalement il ne s’en sort pas si mal.
Il a réussi à éviter l’écueil du soutien aveugle et inconditionnel et l’autre écueil, celui d’un silence qui aurait arrangé Israël pour essayer de faire oublier la réintégration d’un évêque négationniste.
La seule chose ayant réellement de l’importance, c’est que quelqu’un de plus vienne marteler un message de paix sur cette terre trop souvent abreuvée de sang!