C’est le grand journal du matin qui l’annonce à l’occasion d’une visite de madame Fadela Amara, secrétaire d’État chargé de la politique de la ville, dans une entreprise travaillant sur la plate forme de Roissy.
Le Conseil national des entreprises pour les banlieues proposent que 10% de la taxe d’apprentissage soit reversée aux entreprises formant les jeunes des « quartiers difficiles ».
Pourquoi pas? Espérons néanmoins que cela ne débouche pas sur un échec et aux abus des zones franches qui étaient une bonne idée, mais qui n’a pas porté les fruits que l’on espérait.
Si on voulait aller plus loin, on devrait imposer des contrats de recrutement pour les entreprises s’installant d’une manière aidée dans ces zones, c’est un peu ce qui se fait d’une certaine manière. En formant un jeune, l’entreprise devrait probablement le recruter, sans qu’il soit nécessaire d’imposer des quotas.
A suivre