Monsieur Douste Blazy, médecin et ministre des Affaires Etrangères en son temps était coutumier des gaffes. Berbard Kouchner entretient la tradition.
Ses propos malvenus pour un diplomate, sur l’impossibilité de discuter avec les dirigeants algériens actuels, provoquent un tollé en Algérie.
Sans doute fondé partiellement, cette assertion fait fi d’une chose, c’est que nous ne pouvons pas choisir les dirigeants algériens!