Le nouveau lauréat du Renaudot, crée la surprise. Après le Goncourt attribué à un écrivain-réalisateur né afghan, l’autre grand prix littéraire de l’automne surprend les prévisionnistes habituels.
Il ne s’agit pas de prix crées pour récompenser des écrivains étrangers, tel le Femina étranger, mais de prix qui honorent des écrivains de langue française et que beaucoup rêveraient d’avoir
Beaucoup de couleur donc cette année, ce qui illustre que la langue française n’a pas besoin, elle, d’une quelconque discrimination positive, ou d’une investiture pour que les talents puisse s’exprimer et se voir reconnaitre.
En ce domaine au moins, il n’y a peut être pas de plafond de verre.