La cour du droit d’asile poursuit dans l’indifférence générale et dans le silence le plus absolu son 22ème jour de grève contre la loi Collomb.
Insuffisance de moyen, risque d’une logique productiviste, réduction des délai de recours et cadence plus importante font la peur d’une justice au rabais.
Les avocats les suivent en appelant à un arret des playdoieries.
Aucun écho dans la presse sauf cet article de l’Express.