Il écrit ses mémoires.
Il ne viendra pas au congrès du parti qu’il a fondé et dont il est encore le président d’honneur jusqu’à celui-ci vote la dispariton du titre.
Cela ne ressemble t-il pas à un retrait proche de la vie politique, il en a l’âge, n’a plus de meute pour chasser et aujourd’hui ceux qui se souviennent du Maréchal Pétain ne sont plus très nombreux.
Il nous abreuvera encore, tant que ses fonctions cognitives ne seront pas trop altérées, d’un petit trait à scandale dont il a le secret, pour le plaisir du micro qui se tend par goût de nuire, notamment à sa fille.
Qui le pleurera? Nous sans doute car c’était un ennemei conventionnel, plus facile à circonvenir. C’est là où réside le vrai danger!