Demain, plusieurs cérémonies de commémoration seront organisées à l’occasion du 17 octobre 1961, date où la police du Préfet Papon et de la République, se livra à un massacre en règle de militants algériens pacifistes qui se termina par le lancer des corps des victimes dans la Seine.
A ce jour, ce crime reste impuni. A demi reconnu par l’hagiographie officielle et victime de la volonté de non « repentance », les victimes n’ont toujours pas reçues la réparation à laquelle elles ont droit
A lire dans la rubrique Mémoire et histoire pour l’avenir, une tribune de Mouloud Aounit.
Rendez vous demain, sur le Pont Saint Michel à Paris à 18 heures.