On dira ce que l’on voudra, mais il y a comme un vent mauvais.
On pourra nous soutenir ce que l’on veut mais il est indéniable que les propos racistes, les attitudes d’hostilités et de haine sont de plus en plus nombreuses
Les diverses campagnes électorales jusque 2017 ne feront qu’accentuer le mouvement. La course à l’échalote que se livre l’UMP et le FN ne peuvent qu’accentuer le phénomène.
Il est sans doute déjà un peu tard pour espérer inverser la machine, et l’on peut craindre que désormais seul un drame raciste probablement déjà inévitable, ne soir capable d’amener à un sursaut