La garde à vue semble un peu facile en France, c’est du moins l’opinion du nouveau président de la Commission nationale consultative des droits de l’Homme.
Il parle même d’utilisation « vertigineuse » (sic). Dans une interview au Figaro au lendemeain des on installation dans sa nouvelle fonction, il exprime son intention d’être vigilant sur le racisme, la bioéthique et la justice.
Souhaitons que dans la période tendue que nous vivons, son action puisse faire se réduire des dérives comme celles observées à Montreuil lors du 14 juillet dernier, ou qu’il favorise une utilisation raisonnable de la violence par les forces de l’Ordre qui n’ont certes pas une tache facile, mais qui de manière récurrente sont responsables de débordements.