Après l’annonce de la répartition des « lots », par le ministère de l’Immigration et de l’Identité Nationale qui voit une réduction conséquente du rôle de l’association, un de ses responsables explique dans Libération sa vison des choses.
Ils expliquent ainsi pourquoi la CIMADE a décidé de contester en justice la procédure d’attirbution du « marché » de la surveillance des droits des « retenus ».