Un refoulement de l’histoire, des inégalités marquées, une problématique raciste, les séquelles du colonialisme, un contexte de crise agissant comme catalyseur et aujourd’hui une situation insurectionnelle.
Comment ne pas anticiper avec anxiété une extension en d’autres lieux réunissant les mêmes ingrédients d’une potion amère que personne n’a envie de devoir boire?
On n’a déjà vu à plusieurs reprises qu’il suffit de peu, tant le contexte est lourd, pour arriver à l’embrasement.
Les gouvernements passés ont laissé, se constituer des abcès, que personne ne sait aujourd’hui drainer et pour lesquels, il faudrait des thérapeutiques d’exception. Aujourd’hui, La Guadeloupe, demain La Martinique et puis?