Tout un chacun s’en rend compte,la violence de l’agression sur Gaza et le laisser faire international (on interdit même l’accès aux médecins des organisations humanitaires, ce que les russes n’ont pas fait en Tchétchénie!), provoque une bouffée de colère et de rage.
Parfois cette colère conduit à des excès, ceux-ci sont l’œuvre d’inconscients qui prennent un risque énorme, celui de choisir la politique du vivre ensemble au cocktail molotov. Ce sont ceux qui ont dégradés la voiture de l’imam de Drancy, ou encore agressés trois jeunes lycéens du très sérieux lycée Jeanson de Sailly qui refusaient de prendre des tracts de la ligue de défense juive, ou ceux qui dans le Val d’Oise ont agressés des collégiens israélites, ou encore jetés un cocktail molotov sur une synagogue.
On pourrait continuer ce piteux inventaires encore longtemps, et l’on souhaite avant tout qu’il ne s’allonge pas et ne s’aggrave pas.
Néanmoins,il faut aussi souligner le rôle d’apaisement que peuvent jouer certains leaders religieux et certaines institutions, imam, ecclésiastiques, rabbins et simples citoyens.
Le Monde en donne un exemple dans un article à la veille de la grande manifestation de samedi dernier (qui précède celle de samedi prochain d’ailleurs).