Nous apprenons avec plaisir que la justice a donné raison à Ali Aissaoui dans le litige pour diffamation qui l’opposait au journal l’Union.
On se souvient des accusations d’antisémitisme et d’usurpation dont il avait été victime ce militant exemplaire, à l’époque adjoint au maire de Reims.
Laché par ses amis politiques, il préféra rendre sa délégation.
Ceux qui l’avaient laissé en pature à des jouranlistes revanchards dont les motivations mériteraient d’être explorées, devraient se sentir eux aussi coupables