De pauvres retraités maghrébins, que désormais on a coutume d’appeler les chibanis, sont en butte à une mesure de redressement idote de la part de la CPAM qui s’acharne sur ces pauvres hères qui ont donné leur vie pour nourrir leur famille et ne perçoivent qu’une maigre retraite.
On voudrait qu’après avoir passé leur vie loin de leur famille, ils passent leur retraite dans les chambres de 7 m² des foyers Sonacotras (devenus aujourd’hui ADOMA).
Et ainsi on leur demande de passer encore plus de 6 mois loin de leur famille, en France, quel sens cela a t-il?