L’Ordre des médecins s’intéresse lui aussi à la radicalisation dont soudain tout le monde se préoccupe.
Il publie un référentiel d’attitude à adopter et créé un numéro vert pour les médecins qui se posent des questions.
Effectivement, un médecin qui est tenu au secret peu se trouver pris en tenaille entre ce qu’il voit ou apprend et ce nécessaire principe indissociable de l’exercice médical.
De là à en faire un article dans le Parisien…Cela contribue sans doute à cette logique de terreur sous-jacente qui se met en place doucement, un peu comme aux États Unis après le 11 septembre.