Libération donne la parole au fonctionnaire défense du CNRS qui sort de sa réserve mais n’explique pas pourquoi il s’est livré avec un tel acharnement suspect, au « flicage » d’un chercheur tout sauf un terroriste, et dont on ne comprend pas bien les torts
On ne sait pas plus, pourquoi, est organisée une telle surveillance des travaux du CNRS, institution qui est tout sauf une officine de l’ultra gauche.
Des justifications qui apparaissent néanmoins insuffisantes au vue de l’étonnement générale, sont apportés par le principale protagoniste, avec le concerné, de l’affaire Geisser.