Gilles Manceron, revenait hier dans une conférence sur le concept de repentance utilisé par le président au début de l’année et de par le passé pour repousser toute reconnaissance des crimes coloniaux commis en particulier en Algérie.
L’usage intempestif du terme « repentance » n’est pas fortuit
- Auteur/autrice de la publication :Collectif "L’égalité d’abord !"
- Publication publiée :3 mars 2012
- Post category:Mémoire et Histoire pour l'Avenir
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