En cette année de cinquantenaire de l’indépendance de l’Algérie,le président se rapproche de l’électorat des rapatriés dont estime qu’il représente peu ou prou 7 millions d’électeurs.
On comprend mieux ses crispations sur la question de l’Algérie.
Dommage que le lobby de ceux qui veulent une reconnaissance des crimes commis durant la colonisation ne pèsent apparemment pas plus; Gageons que sinon M Sarkozy aurait une autre opinion