Eric Besson, ministre de l’Immigration, a engagé des pourparlers avec les associations pour remettre à plat le délit de solidarité.
On pourrait espérer que les travailleurs sociaux puissent en être exemptés dans une certaine mesure et que certains locaux soient « sanctuarisés » même s’ils sont des lieux d’hébergements d’étrangers en situation de séjour irrégulier.
La seule vraie avancée serait que l’on abroge le délit « d’aide » ou de solidarité, car on ne peut associer les bénévoles et les acteurs associatifs, aux organisateurs des filières d’immirgation clandestine, qui eux doivent être traqués.
Ne mélangeons pas le bon grain à l’ivraie!