Monsieur Valls change.
Lui qui pensait que comprendre c’était déjà excuser, trouve désormais des mérites aux plans anti radicalisations et notamment aux mesures éducatives et d’accompagnement psychiatrique. Même si ce n’est pas la panacée, c’est sans doute une voie qui peut permettre d’éviter de voir des individus passer à l’acte, car on ne pourra mettre tout le monde à Guantanamo…