Bariza Khiari donne une interview intelligente au Nouvel Observateur qui fait sans doute plus pour nourrir le pseudo débat sur la question nationale que la plupart des réunions organisées par les préfets qui servent parfois de dévidoir aux réflexions les plus puantes.
Si on avait vraiment voulu mener une démarche intelligente, c’est plutôt ce genre de réussite et de profils que l’on aurait du mettre en valeur plutot que de présenter des sortes d’épouvantails avec une casquette de travers, s’exprimant par des borborygmes, avec le couteau entre les dents.
Puisque en fait, on veut parler de l’immigration et non pas de l’identité, il faut aussi avoir l’honnête de dire ce que représente l’indéniable richesse que représente ces alluvions venus fertiliser le pays, en ce sens Madame Khiari dont l’exemplarité est connue en est une parfaite illustration.