Il sort enfin de son silence pour s’exprimer sur le débat sur l’identité nationale et il ne mâche pas ses mots en prenant le risque d’être à contre pieds avec le Président. Il avoue son malaise et sa gêne face à ce débat qui tourne au « défouloir » et au « déversoir », mots très durs mais surement bien pesés.
La dernière question qu’on lui pose vaut d’être lue…