Malgré les coups de boutoir chinois de plus en plus incisifs, le pré carré comporte de belles patures. Le Gabon est l’unes d’elles, le Président s’y rend ce jour avant de visiter le Rwanda autre tache sombre de notre palmares africiain.
Il adoube donc le fils de son père peut-être là lui aussi pour 40 ans.
Nous ne sommes pas sur que les jeunes gabonais apprécient, et on se demande où est le changement annoncé, sans doute enterré après la bourde de l’ex secrétaire d’Etat, M Bockel, qui avait « migré » aux anciens combattants pour avoir cru que quelquechose de neuf devait se faire.