Alain FInkelkraut est académicien, mais l’habit n’a pas changé l’homme.
Lui l’éternel pourfendeur du communautarisme, ne peut s’empêcher de raisonner sous le prisme du…communautarisme.
Il ne voit dans cette élection qu’une …manifestation de l’antisémitsime qui régnerait chez les Travaillistes et une marque des biais de raisonnement de la société multicuturelle où l’on privilégie l’origine plus que la talent ou le mérite.
C’est ce bon vieux discours qui justifie par exemple que l’on fasse pas plus de place à ce que l’on appelle communément « la diversité » arguant du fait qu’on ne va pas se mettre à donner des « postes » à des gens sous prétexte qu’ils sont issus de minorité (ce discours peut être calqué pour les femmes ), faisant mine de ne pas voir que ceux qui ont du talent sont quand même bloqués à la porte.
Sacré Finkelkraut, sous ses dehors d’humaniste du 16ème ne se cache rien d’autres qu’un défenseur de l’ordre établi et de la classe dominante et bien pensante à laquelle il appartient.