On y pense peu, mais c’est un fait historiquement avéré, les périodes de crise sont souvent des périodes propices aux manifestations les plus intolérantes.
La secrétaire générale d’Amesty pointe elle un risque de voir s’accroitre les discriminations. On a bien envie de la croire quand on voit prospérer des discours sur la préférence nationale qui étaient devenus plus rare depuis la deuxième moitié des années 90.