Le célèbre historien spécialiste de la question algérienne, à l’occasion de la sortie de son nouveau livre, « Les guerres sans fins » aux éditions Stock, accorde une interview au quotidien francophone algérien.
Il y revient sur la concurrence mémorielle et le rôle de « l’oubli d’État » qui va s’opposer à la place naturelle de la mémoire dans l’histoire.
Nous en sommes tous convaincus, la mémoire est un élément essentiel et les blessures causées par l’exclusion d’une partie d’entre elles n’est pas sans conséquence.